Parkinson c’est quoi ?
Parkinson est une maladie incurable qui se traduit par des tremblements des membres et un ralentissement des mouvements. La cause en serait la diminution de la production ou de la circulation de la dopamine. Aucun traitement fiable n’existe encore à ce jour mais il existe des aliments permettant de la prévenir.
Les effet du poivron contre Parkinson
D’après une étude menée sur 490 personnes âgées atteintes de la maladie de Parkinson nouvellement diagnostiquées et 644 personnes âgées non atteintes de la maladie de Parkinson: la consommation de poivrons permet de réduire les risques de maladie de Parkinson.
Des questionnaires ont évalué les habitudes alimentaires et la consommation de tabac des participants. Cela a permis de connaître leur consommation en poivrons, tomates et pommes de terre.
La famille des Solanacées (les tomates, les aubergines et les pommes de terre) est naturellement composée de nicotine.
Des recherches ont mis en évidence le lien entre la consommation de tabac et son effet protecteur sur la maladie de Parkinson. En effet, des études ont montré que les fumeurs ont un risque réduit de développer la maladie.
De fait, consommer du poivron de 2 à 4 fois/semaine permettrait de réduire de 30% le risque de maladie. Cependant les chercheurs indiquent également que ce constat doit être confirmé par d’autres études.
D’autres travaux ont montré que les aliments riches en flavonoïdes (thé, pommes, oranges, baies) préviennent aussi cette maladie. Afin d’avoir un apport suffisant en nicotine vous n’avez plus qu’à consommer des Solanacées sans avoir à fumer !
Les effets du café contre Parkinson
Consommé à doses modérées, le café a de nombreuses vertus, notamment un effet neuroprotecteur sur le cerveau.
Des chercheurs japonais ont repéré que les patients atteints de maladie de Parkinson ont un taux de caféine trois fois plus faible dans le sang.
Des dosages sanguins ont mis en évidence qu’après avoir absorbé du thé ou du café, ces personnes avaient un taux de caféine trois fois plus bas que des personnes en bonne santé absorbant la même quantité de caféine chaque jour. La différence était encore plus nette chez les patients souffrant de troubles moteurs.
Selon ces chercheurs, l’explication pourrait venir d’une mauvaise absorption de la caféine au niveau intestinal. Or, les patients parkinsoniens souffrent fréquemment de constipation.
Mais il est possible aussi que les médicaments donnés dans la maladie de Parkinson interagissent avec le métabolisme de la caféine.
Un nouveau traitement consistant en des injections de caféine pourrait voir le jour.
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